Notre profil

Andrea Arcidiacono

Andrea Arcidiacono, né à Bellinzona en 1966, s’installe à Berne dans les années quatre-vingt-dix, où il acquiert une expérience pluriannuelle et polyvalente dans la communication institutionnelle, les relations publiques et les médias entre la Suisse et l’Italie.

Après avoir obtenu la licence en économie à l’Université de St. Gall (HSG) et quelques expériences dans le privé, il fait de sa passion pour l’écriture son métier.

Il débute dans le monde des médias à la rédaction de Bellinzona du Corriere del Ticino pour ensuite travailler à Berne comme correspondant du Palais fédéral pour le Corriere del Ticino et pour la Télévision de la Suisse italienne RSI.

La passion pour le système politique le pousse à s’aventurer dans le monde de la communication et des médias en tant que porte-parole des Conseillers fédéraux Ruth Dreifuss et Pascal Couchepin au Département fédéral de l’intérieur à Berne.

Il se spécialise dans la gestion de projets complexes : de la création du Service communication et médias à l’Université de la Suisse italienne à Lugano à la révision de la communication au Tribunal fédéral administratif à Berne.

De 2011 à 2015 il travaille à Présence Suisse au Département fédéral des affaires étrangères à Berne comme responsable du programme de diplomatie publique «Verso Expo 2015» et de responsable de la communication du Pavillon Suisse à l’Exposition universelle de Milan en 2015.

En 2016 il est responsable du programme de diplomatie publique «Gothard 2016» à l’occasion de l’ouverture du tunnel ferroviaire le plus long du monde. L’ouvrage du siècle NLFA a permis à la Suisse de s’affirmer en tant que pays innovateur et engagé à faveur du développement durable et soutenable.

De 2017 à 2018 il est actif dans le secteur de la santé en qualité de porte-parole et consultant de l’Office fédéral de la santé publique à Berne avec un mandat de communication à temps déterminé dans le domaine de l’assurance-maladie.

«Le président est le premier serviteur.»

Mahatma Gandhi

Pascal Coullery

Pascal Coullery est né le 6 octobre 1963 à Berne, où il a grandi. Après des études de droit, il a obtenu son doctorat en 1992 à l’Université de Berne avec une thèse sur le droit à l’aide sociale. De 1994 à 2002, Pascal Coullery a d’abordété conseiller spécialisé dans le domaine des assurances sociales, puiscollaborateur personnel de la conseillère fédérale Ruth Dreifuss.

Après trois ans à la têtede la section Législation et analyses dans le domaine de l’assurance-maladie et de l’assurance accidents du Département fédéral de l’intérieur, il a rejointen 2006 la Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale du canton de Berne, où il a exercé les fonctions de secrétaire général et de responsable de la prévoyance sociale jusqu’en 2016.

Après deux ans en tant que chef de l’état-major de l’Office fédéral des assurances sociales, Pascal Coullery travaille depuis début 2018 à la Haute école spécialisée de Berne, où il enseigne et fait des recherches au Département de travail social. Il est marié et père de deux enfants.

«Les obstacles et les difficultés sont des étapes sur lesquelles nous grimpons.»

Friedrich Nietzsche

Felix Rickenbacher

Felix Rickenbacher, né et grandi à Zurich, a étudié l’informatique de gestion à l’Université de Zurich. Au sein de l’UBS, il a pu appliquer et approfondir ses connaissances informatiques dans différents domaines de la grande banque.

Il s’est en particulier spécialisé dans les solutions de workflow basées sur le Web pour des domaines tels que le crédit, la trésorerie ou les achats informatiques. Au sein de la division Corporate and Institutional Clients, il était également responsable des relations commerciales avec les banques suisses.

Avec la fondation et la gestion de Valebit AG, Felix Rickenbacher s’est lancé dans le conseil pour implémenter des solutions informatiques dans le secteur financier. Grâce au partenariat d’addexpert, l’activité de conseil s’est développée dans le secteur du recrutement de spécialistes et de cadres

«La musique est le son qui pense.»

Viktor Hugo